Fuyu Dorobô ~

Nom :
Fuyu (Hiver)

Prénom :
Dorobô (Voleur)

Surnom :
Dorobô no shinzô (Voleur de cœurs) ou Aki (Automne).

Age :
17 ans presque 18 ans.

Rôle :
Redoubleurs.

Traits de caractère :
On ne peut le décrire que par deux mots: mystérieux et discret. Étant à l'écart des autres et de leurs jugements, il rôde où que le désir lui prend. Ne racontant sa vie à personne et en la révisionnant à de nombreuses reprises, on ne peut pas réussir à en savoir sur lui. Bien sûr, celui-ci peut se montrer bavard et charismatique. Par contre, il se présente plutôt en étant silencieux et discipliné. Dorobô analyse facilement les personnes et leurs regards. Ne voulant perdre aucunement le temps de lire ou de penser, le jeune homme n'a nullement de motivations d'aller apprendre à l'école ou de suivre en classe. Il pourrait réussir, s’il le voudrait, en revanche, ce n'est point du tout le cas. Il est du type à dire directement ce qu'il veut au lieu de jouer le subtil. Étant pas intimidé ou timide, Dorobô bénéficie d'une aisance inégalée s'il est en face d'une personne. Lui qui ne juge quelqu'un que s'il lui a fait du mal, celui-ci procure à l'habitude chez son interlocuteur, une confiance qui lui enlève sa gêne de lui parler d’avantage. Étant très sincère et ouvert d’esprit, il se distingue en montrant son authenticité absolue. Les filles l’aiment souvent pour son allure rebelle ou sincère, ce qui l’indiffère, car il adore rarement une femme pour engager une relation amoureuse. Oui, il peut en avoir des tas sans le déranger, par contre, ça ne sera pas des vrais amours. Seulement du désir. Ce qui peut choquer les autres garçons et les motiver à le nuire. Ayant la possibilité d'être rêveur, il est souvent en "transe" ou qu'il ne répond point, à cause de ses pensées qui se bousculent dans son crâne ou que ses rêvasseries viennent au mauvais moment.

Portrait physique :
Il a un teint blême et des traits délicats. Dorobô a des lèvres chaudes et, cachées le plus souvent, avec son foulard rouge terne qui enfile pour le pensionnat. Ses yeux sont entourés d’une sombre pénombre et ses pupilles sont d’une couleur noire qui sont en faites bleu marine nébuleuse. Son visage est doux et sa peau affronte encore maintenant, des terribles températures, sans en être abîmée. Ses cheveux noirs loin d’être laconiques, atteignent le bas de son dos et sont toujours propres. Ses oreilles ainsi que sa nuque sont dissimulés dans sa tignasse. Étant grand et élancé, il a une grande habilitée pour courir et pour voir loin.

Vêtements…


Hors du pensionnat (Hors des heures de cours):
Dorobô vêtit entièrement de ténébreuses couleurs, èrre dans les rues avec son manteau rouge ayant des ceintures noirs au collet jusqu’au bas du torse à la place des boutons, celui-ci met un bandeau dans sa chevelure pour pas qu’elle le dérange s’il veut azimuter quelque chose, un pantalon noir lui camouffle ses jambes, sa cape rouge décoloré lui accorde de l’assurance et ses souliers sont d’apparence charbon. Bref, il n’a aucun problème s’il veut paraître différent des autres.

Au pensionnat (Dans les heures de cours):
Le jeune homme est costumé avec un kimono à manche courte de couleur fuligineuse, ses cheveux sont attachés en prèle, les cordons tressés sont opalins, il a un foulard rouge, il possède des Tabi verts forêts et un éventail amarante enfumée.

Passé :
Il a vécu sous le controle de ses parents, tous deux absents très souvent. Cependant, ne les aimant nullement, Dorobô apprend à vivre sans eux, ayant comme modèle le célèbre Vincent Valentine. À l'âge d'un enfant, c'est ce qu'il y a de plus mignon. Mais, au fil des années, celui-ci a débuté à le maîtriser plus que l'être lui-même, puis s'est perdu. Noyé dans ses pensées et dans ses questions sans réponses, il fugue dans une forêt, très loin de chez lui. En même temps d'éviter le contact avec ses parents et de fuir les interrogations des autres, il va à l'école, comme si tous étaient
normaux, sans que quiconque le soupsonne de vivre dans un boisé. Vivant avec la nature et la douceur des vents, Dorobô entame de se personnaliser. Il bâtit sa propre attitude, par contre, il a toujours son idol en lui et l'envahit comme à sa jeunesse, comme une tumeur maladive à son cerveau. Or, celui-ci n'arrivait pas à se concentrer à l'école, car sa faim le rongeait ainsi que son âme. Ses parents le retrouvèrent et le ramenèrent de force chez eux. Après une semaine de disputes incessantes, il repart dans un autre endroit, le Japon, lui qui avait vécu en Mongolie toute sa vie. Comment est-il arrivé là, cela reste un secret. En étant dans un emplacement excentrique, il reprend son rôle de Vincent Valentine, tout en ayant un peu de lui-même dans ses gestes ainsi que dans ses jugements.

"Ce n'est aucunement grave si je suis le pantin de quelqu'un que je n'aie jamais connu, car dans le fond, je ne suis rien d'autres que destiné à ça. Faire revivre ce personnage sublime et théâtral!"

Aime :
Le silence, lire, se balader, la neige, la pluie, l'automne, les chocolats.


Déteste :
Être avec quelqu'un qui n'arrive pas à aimer en tant qu'ami.

Quelle image a-t-on de lui ou d’elle :
Il propage une aura de vérités et de canoniques. On se sent aucunement jugé en sa présence et celui-ci peut dégager une froideur si le jeune homme ne veut point du tout parler. Il peut sembler dépressif lors d'une conversation.

Projet/rêve :
Se retrouver.